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DOMAINE DES BARDES

DOMAINE DES BARDES

07370

Eclassan

http://domaine-des-bardes.e-monsite.com

Le domaine des bardes a été créé en 2019. 

 

"J’étais ébéniste et vernisseur à l’origine, mais le métier d’ébéniste ayant beaucoup changé, nous ne travaillons plus le bois. Je n’avais plus envie de poursuivre ma voie dans ce métier. En tant que vernisseur, ma conscience écologique affirmée ne me permettait plus de supporter ces produits nocifs pour l’environnement et notre santé. 

 

j’ai fait de l’intérim le temps de me reconstruire. Puis en discutant avec des amis, des collègues de travails, ces derniers m’ont éveillé sur le fait que j’avais de par mon père un véritable patrimoine à faire vivre et fructifier. De plus, avec ma conscience écologique, cela me permettait de montrer qu’une autre voie de l’agriculture est possible, une voie où l’empreinte de l’Homme dans la nature serait quasiment nulle et serait même en symbiose complète avec l’environnement. La ferme était en polyculture-élevage, il y avait des vaches laitières ainsi que des fruits que j’ai arrêté à cause d’un marché trop incertain et d’un travail trop contraignant et prenant en ce qui concerne les vaches laitières. Mais en ce qui concerne la vigne, j’ai toujours aimé ce travail sans vraiment m’en rendre compte. Et surtout, j’ai toujours su apprécier nos bons vins de terroirs. 

 

Je suis donc retourné dans les études pendant 9 mois afin d’apprendre le métier de vigneron. 

 

Cette ferme était en polyculture élevage depuis toujours. Mon arrière-grand-père avait beaucoup d’ambition et avait pour l’époque grandement développé celle-ci. Il avait acheté de nombreux terrains, construit des hangars et des granges, ce qui faisait de cette ferme la plus importante du village. Mon grand-père et mon père ont pris la suite. Ce dernier a construit encore des hangars mais surtout une étable, suivant donc l’évolution technologique dans les années 1990. 

 

Lorsque j’ai repris la ferme en 2019, j’ai de suite converti toute la ferme en agriculture biologique, et par la suite en biodynamie. J’ai abandonné les vaches et les fruits (cerises, poires, abricots, framboises) pour me consacrer sur la vigne, la vinification et la commercialisation. J’ai tout de même gardé les grandes cultures, à savoir, les terres cultivables donc les céréales, le trèfle, la luzerne, mais aussi les prairies permanentes pour le foin. 

Il y avait 33ha, dont 12,5 ha de grandes cultures, une dizaine d’hectare de prairie permanente, quelques parcelles de bois et de landes, et enfin 4,26 ha de vignes dont 0,8 ha de gamay et 3,5 ha de Syrah. Dans ces 3,5 ha de Syrah, il y a 1,7 ha de Saint-Joseph et le reste en IGP des collines rhodaniennes.

 

De nouvelles plantations de vignes sont en cours :

 

  • En 2019 : 0,8 ha de Viognier qui remplace le Gamay qui dépérit et qui sera arraché après les vendanges 2021.
  • En 2020 : 1 ha de Dureza.
  • En 2021 : 1 ha de Marsanne.
  • En 2022 : 0,7 ha de Chatus et 0,3 ha de Roussanne.

 

 

Le but est donc aujourd’hui de transformer la ferme en domaine viticole et d’y construire une cave, le tout en lien avec la nature. Le vin sera fait en « méthode nature », sans soufre ou un maximum de 30mg/l de soufre si l’année ne le permet pas.

Le domaine des bardes a été créé en 2019. 

 

J’étais ébéniste et vernisseur à l’origine, mais le métier d’ébéniste ayant beaucoup changé, nous ne travaillons plus le bois. Je n’avais plus envie de poursuivre ma voie dans ce métier. En tant que vernisseur, ma conscience écologique affirmée ne me permettait plus de supporter ces produits nocifs pour l’environnement et notre santé. 

 

j’ai fait de l’intérim le temps de me reconstruire. Puis en discutant avec des amis, des collègues de travails, ces derniers m’ont éveillé sur le fait que j’avais de par mon père un véritable patrimoine à faire vivre et fructifier. De plus, avec ma conscience écologique, cela me permettait de montrer qu’une autre voie de l’agriculture est possible, une voie où l’empreinte de l’Homme dans la nature serait quasiment nulle et serait même en symbiose complète avec l’environnement. La ferme était en polyculture-élevage, il y avait des vaches laitières ainsi que des fruits que j’ai arrêté à cause d’un marché trop incertain et d’un travail trop contraignant et prenant en ce qui concerne les vaches laitières. Mais en ce qui concerne la vigne, j’ai toujours aimé ce travail sans vraiment m’en rendre compte. Et surtout, j’ai toujours su apprécier nos bons vins de terroirs. 

 

Je suis donc retourné dans les études pendant 9 mois afin d’apprendre le métier de vigneron. 

 

Cette ferme était en polyculture élevage depuis toujours. Mon arrière-grand-père avait beaucoup d’ambition et avait pour l’époque grandement développé celle-ci. Il avait acheté de nombreux terrains, construit des hangars et des granges, ce qui faisait de cette ferme la plus importante du village. Mon grand-père et mon père ont pris la suite. Ce dernier a construit encore des hangars mais surtout une étable, suivant donc l’évolution technologique dans les années 1990. 

 

Lorsque j’ai repris la ferme en 2019, j’ai de suite converti toute la ferme en agriculture biologique, et par la suite en biodynamie. J’ai abandonné les vaches et les fruits (cerises, poires, abricots, framboises) pour me consacrer sur la vigne, la vinification et la commercialisation. J’ai tout de même gardé les grandes cultures, à savoir, les terres cultivables donc les céréales, le trèfle, la luzerne, mais aussi les prairies permanentes pour le foin. 

Il y avait 33ha, dont 12,5 ha de grandes cultures, une dizaine d’hectare de prairie permanente, quelques parcelles de bois et de landes, et enfin 4,26 ha de vignes dont 0,8 ha de gamay et 3,5 ha de Syrah. Dans ces 3,5 ha de Syrah, il y a 1,7 ha de Saint-Joseph et le reste en IGP des collines rhodaniennes.

 

De nouvelles plantations de vignes sont en cours :

 

  • En 2019 : 0,8 ha de Viognier qui remplace le Gamay qui dépérit et qui sera arraché après les vendanges 2021.
  • En 2020 : 1 ha de Dureza.
  • En 2021 : 1 ha de Marsanne.
  • En 2022 : 0,7 ha de Chatus et 0,3 ha de Roussanne.

 

 

Le but est donc aujourd’hui de transformer la ferme en domaine viticole et d’y construire une cave, le tout en lien avec la nature. Le vin sera fait en « méthode nature », sans soufre ou un maximum de 30mg/l de soufre si l’année ne le permet pas."

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