Isaline et Olivier de Bournet vous souhaitent la bienvenue au Domaine de Bournet.

Le vignoble est planté d’un seul tenant sur un sol argilo-calcaire de type Berriasien à une altitude de 110 à 130 mètres. Ce sol basique et minéral permet l’élaboration de vins de grandes qualités et de grandes gardes.

Nous sommes heureux de vous faire découvrir notre gamme de vins fruités, puissants et surprenants !

Tous nos vins sont labellisés Agriculture Biologique AB et ont obtenu également le label Secrets d’Ardèche

Bonne visite !

 

Au cœur de la vallée du Rhône, à la porte sud des Gorges de l’Ardèche, là où la garrigue cède la place aux coteaux ensoleillés du Rhône se trouve le Domaine de la Croix Blanche. Issu d’une longue tradition familiale, le domaine exploite 29 hectares de vignes cultivés en Agriculture Biologique. Vivant au rythme de la vigne, nous avons toujours travaillé dans l’esprit de préserver l’environnement dans lequel nous évoluons en respectant la vigne, le sol et le rythme des saisons. La certification bio a été engagée officiellement en 2011 pour les blancs et 2013 pour l’ensemble du domaine mais depuis  toujours, notre philosophie est tournée vers une agriculture raisonnée.

L’encépagement est constitué par les cépages traditionnels de la région : Syrah, Grenache, Mourvèdre, Cinsault, Merlot, Grenache blanc, Clairette, Viognier, Marsanne, Roussanne, nous permettant de produire une large gamme de vins en AOP Côtes du Rhône, Côtes du Rhône Village et IGP Ardèche.
 

Le Domaine Julien de l’Embisque, conduit en  Agriculture Biologique  depuis de nombreuses années, s’étend sur une diversité de terroirs afin d’obtenir des vins de caractère. Ils permettent l’épanouissement des principaux cépages de la Vallée du Rhône tels que le grenache noir, syrah, carignan, cinsault, mourvèdre, couston pour les rouges et viognier, grenache blanc, muscat petit grain, muscat d’Alexandrie pour les blancs.
L’ensemble du Domaine est entouré par la forêt et entrecoupé de haies. Tout ceci crée un écosystème qui nous permet de faire l’impasse de l’utilisation d’insecticides.

UN LIEU ET UNE HISTOIRE REMARQUABLES. RAPPEL DES DATES FONDATRICES :

• Le Caveau date du XIIème siècle, sous l’ère des Templiers. Les cuveries ont entre 200 et 300 ans (9000 hectolitres),
• 1978, le Domaine voit le jour, motivé par une volonté depuis respectée : créer des vins issus d’un savoir-faire transmis et renouvelé depuis 8 générations,
• 1998, conversion du domaine en Agriculture Biologique. Notre démarche écoresponsable, côté vigne et côté chais, est reconnue. Ce label est en totale adéquation avec notre double objectif de production et de consommation responsables.
• 2004, 1ère cuvée sans sulfites ajoutées,
• 2016, engagement en tant qu'eco-acteur de la réserve de Biosphère des Gorges du Gardon. Nous sommes fiers de valoriser le terroir local, d’Uzès au Rhône, avec des méthodes durables !
• 2017, obtention du label Nature et Progrès. Cette association est l’acteur historique de la promotion du développement de l’agrobiologie et de la biodynamie. Elle porte haut les valeurs que nous prônons.

Le domaine des bardes a été créé en 2019. 

 

"J’étais ébéniste et vernisseur à l’origine, mais le métier d’ébéniste ayant beaucoup changé, nous ne travaillons plus le bois. Je n’avais plus envie de poursuivre ma voie dans ce métier. En tant que vernisseur, ma conscience écologique affirmée ne me permettait plus de supporter ces produits nocifs pour l’environnement et notre santé. 

 

j’ai fait de l’intérim le temps de me reconstruire. Puis en discutant avec des amis, des collègues de travails, ces derniers m’ont éveillé sur le fait que j’avais de par mon père un véritable patrimoine à faire vivre et fructifier. De plus, avec ma conscience écologique, cela me permettait de montrer qu’une autre voie de l’agriculture est possible, une voie où l’empreinte de l’Homme dans la nature serait quasiment nulle et serait même en symbiose complète avec l’environnement. La ferme était en polyculture-élevage, il y avait des vaches laitières ainsi que des fruits que j’ai arrêté à cause d’un marché trop incertain et d’un travail trop contraignant et prenant en ce qui concerne les vaches laitières. Mais en ce qui concerne la vigne, j’ai toujours aimé ce travail sans vraiment m’en rendre compte. Et surtout, j’ai toujours su apprécier nos bons vins de terroirs. 

 

Je suis donc retourné dans les études pendant 9 mois afin d’apprendre le métier de vigneron. 

 

Cette ferme était en polyculture élevage depuis toujours. Mon arrière-grand-père avait beaucoup d’ambition et avait pour l’époque grandement développé celle-ci. Il avait acheté de nombreux terrains, construit des hangars et des granges, ce qui faisait de cette ferme la plus importante du village. Mon grand-père et mon père ont pris la suite. Ce dernier a construit encore des hangars mais surtout une étable, suivant donc l’évolution technologique dans les années 1990. 

 

Lorsque j’ai repris la ferme en 2019, j’ai de suite converti toute la ferme en agriculture biologique, et par la suite en biodynamie. J’ai abandonné les vaches et les fruits (cerises, poires, abricots, framboises) pour me consacrer sur la vigne, la vinification et la commercialisation. J’ai tout de même gardé les grandes cultures, à savoir, les terres cultivables donc les céréales, le trèfle, la luzerne, mais aussi les prairies permanentes pour le foin. 

Il y avait 33ha, dont 12,5 ha de grandes cultures, une dizaine d’hectare de prairie permanente, quelques parcelles de bois et de landes, et enfin 4,26 ha de vignes dont 0,8 ha de gamay et 3,5 ha de Syrah. Dans ces 3,5 ha de Syrah, il y a 1,7 ha de Saint-Joseph et le reste en IGP des collines rhodaniennes.

 

De nouvelles plantations de vignes sont en cours :

 

• En 2019 : 0,8 ha de Viognier qui remplace le Gamay qui dépérit et qui sera arraché après les vendanges 2021.
• En 2020 : 1 ha de Dureza.
• En 2021 : 1 ha de Marsanne.
• En 2022 : 0,7 ha de Chatus et 0,3 ha de Roussanne.

 

 

Le but est donc aujourd’hui de transformer la ferme en domaine viticole et d’y construire une cave, le tout en lien avec la nature. Le vin sera fait en « méthode nature », sans soufre ou un maximum de 30mg/l de soufre si l’année ne le permet pas.

Le domaine des bardes a été créé en 2019. 

 

J’étais ébéniste et vernisseur à l’origine, mais le métier d’ébéniste ayant beaucoup changé, nous ne travaillons plus le bois. Je n’avais plus envie de poursuivre ma voie dans ce métier. En tant que vernisseur, ma conscience écologique affirmée ne me permettait plus de supporter ces produits nocifs pour l’environnement et notre santé. 

 

j’ai fait de l’intérim le temps de me reconstruire. Puis en discutant avec des amis, des collègues de travails, ces derniers m’ont éveillé sur le fait que j’avais de par mon père un véritable patrimoine à faire vivre et fructifier. De plus, avec ma conscience écologique, cela me permettait de montrer qu’une autre voie de l’agriculture est possible, une voie où l’empreinte de l’Homme dans la nature serait quasiment nulle et serait même en symbiose complète avec l’environnement. La ferme était en polyculture-élevage, il y avait des vaches laitières ainsi que des fruits que j’ai arrêté à cause d’un marché trop incertain et d’un travail trop contraignant et prenant en ce qui concerne les vaches laitières. Mais en ce qui concerne la vigne, j’ai toujours aimé ce travail sans vraiment m’en rendre compte. Et surtout, j’ai toujours su apprécier nos bons vins de terroirs. 

 

Je suis donc retourné dans les études pendant 9 mois afin d’apprendre le métier de vigneron. 

 

Cette ferme était en polyculture élevage depuis toujours. Mon arrière-grand-père avait beaucoup d’ambition et avait pour l’époque grandement développé celle-ci. Il avait acheté de nombreux terrains, construit des hangars et des granges, ce qui faisait de cette ferme la plus importante du village. Mon grand-père et mon père ont pris la suite. Ce dernier a construit encore des hangars mais surtout une étable, suivant donc l’évolution technologique dans les années 1990. 

 

Lorsque j’ai repris la ferme en 2019, j’ai de suite converti toute la ferme en agriculture biologique, et par la suite en biodynamie. J’ai abandonné les vaches et les fruits (cerises, poires, abricots, framboises) pour me consacrer sur la vigne, la vinification et la commercialisation. J’ai tout de même gardé les grandes cultures, à savoir, les terres cultivables donc les céréales, le trèfle, la luzerne, mais aussi les prairies permanentes pour le foin. 

Il y avait 33ha, dont 12,5 ha de grandes cultures, une dizaine d’hectare de prairie permanente, quelques parcelles de bois et de landes, et enfin 4,26 ha de vignes dont 0,8 ha de gamay et 3,5 ha de Syrah. Dans ces 3,5 ha de Syrah, il y a 1,7 ha de Saint-Joseph et le reste en IGP des collines rhodaniennes.

 

De nouvelles plantations de vignes sont en cours :

 

• En 2019 : 0,8 ha de Viognier qui remplace le Gamay qui dépérit et qui sera arraché après les vendanges 2021.
• En 2020 : 1 ha de Dureza.
• En 2021 : 1 ha de Marsanne.
• En 2022 : 0,7 ha de Chatus et 0,3 ha de Roussanne.

 

 

Le but est donc aujourd’hui de transformer la ferme en domaine viticole et d’y construire une cave, le tout en lien avec la nature. Le vin sera fait en « méthode nature », sans soufre ou un maximum de 30mg/l de soufre si l’année ne le permet pas."

Il était une fois…

entre Rhône et Coteaux, l’histoire d’une famille d’agriculteurs. 

Tout a commencé, il y a fort longtemps, les générations se sont succédées, et la passion pour cette belle terre d’Ardèche aussi.

Dans l’histoire de notre famille, au plus loin que l’on se souvienne, il s’est toujours trouvé dans ses hommes et ses femmes l’un d’entre nous pour relever le défit de la culture de la terre.

Mon grand- père était paysan sans ferme. Ma mère Céline a quitté la ferme de ses parents à Borne en haute Ardèche pour rejoindre mon père Jean. Tous les deux, avec 4 hectares et une mule et par une vie toute donnée à leur famille, à force de courage, ont développé la petite exploitation sur Saint Montan.

Dans les années 60, les premiers tracteurs apparaissent et c’est la naissance de l’entreprise de travaux agricole qui se développe.

En 1982 je rejoins l’exploitation familiale, avec l’aide de mon père je développe l’entreprise et je m’installe avec ma femme Elisabeth sur une petite exploitation sur Bourg-Saint-Andeol.

En 1998 nous mettons l’accent sur la culture biologique. Pour nous, c’est le déclic, nous développons l’exploitation et peu à peu l’entreprise de travaux agricole diminue pour laisser la place à la culture des céréales, des oléagineux, de la culture de l’olivier, et de la vigne. Deux ans après nous commençons la vente directe. C’est la naissance  du Domaine des Mûres sur la commune de Bourg-Saint-Andeol. 

Le choix du nom du Domaine nous est venu naturellement : à l’époque où Olivier de Serre (1539-1619) avait développé l’élevage des vers à soie, l’Ardèche avait vue de nombreuses fermes se lancer dans cette activité, et beaucoup de mûriers furent plantés. Aujourd’hui encore se trouve sur notre exploitation de nombreux mûriers, vestiges de cette époque-là. L’idée nous sembla bonne de donner à notre exploitation un nom avec une dimension historique. Après avoir choisi ce nom, quelle ne fut pas notre surprise, en retrouvant des actes notariés, de lire sur un de ceux-ci que dans les années 1700 l’exploitation alors plus grande, portait déjà le nom de Domaine Des Mûres. Avec les siècles le nom de Domaine des Mûres s’était endormi comme une belle au bois dormant, ne restant comme indication que le nom du quartier et du chemin Des Mûres.

Notre fils Nicolas nous rejoint en 2010 et prend sa place au sein de l’exploitation. Il y développera un élevage de porcs bio pendant 6 ans. Puis suivant la tradition et l’inclinaison du travail familial : il réoriente son activité vers les céréales et la vigne. Sa femme Vanessa elle aussi le rejoint sur l’exploitation pour le seconder.

C’est beaucoup de bonheur et de joie de voir se continuer l’œuvre commencée bien avant nous. Une histoire pétrie de la vie d’hommes et de femmes vivant avec passion l’amour du travail de la terre au service de tous les hommes.

Domaine Viticole et Oléicole familial situé sur les collines du Nyonsais,

que exploité depuis 1978, sur un terrain argilo-calcaire, caillouteux, en coteaux,

qui bénéficie d'un climat méditerranéen.

Depuis plus de 35 ans, trois générations de vignerons se sont succédées sur notre domaine familial qui se situe au coeur du Parc Naturel Régional des Baronnies Provençales.

Nos vins issus de l’Indication Géographique Protégée Coteaux des Baronnies sont tous biologiques, ils marquent notre attachement à une viticulture respectueuse des hommes, de l’environnement et du terroir.

Situé au cœur des Baronnies, en Drôme provençale, notre vignoble jouit d’un ensoleillement important et d’un microclimat particulier. En effet, il bénéficie à la fois du climat méditerranéen et du climat alpin. Ces conditions favorables nous permettent de vous offrir des vins authentiques et originaux produits à partir des cépages Merlot, Cabernet Sauvignon, Syrah, Chardonnay, Viognier, Roussanne, Marsanne, Pinot Noir, Gamay.

Trés attaché au marché local, une partie importante de nos vins est vendue au caveau ou dans les restaurants de la région. Nos raisins récoltés à pleine maturité, sont vinifiés avec le plus grand soin, ce qui leur permet de dévoiler tout leur caractère. La vinification est traditionnelle et l’élévage en fûts et foudres de chêne s’effectue dans nos caves voûtées centenaires. Nos vins sont conditionnés par nos soins en bouteilles ou en fontaines à vins.

De la création de notre vignoble à notre reconversion en agriculture biologique, plongez dans notre univers viticole. Si nos premiers vins remontent à 1997, notre histoire de vignerons date de plus de 100 ans. Aujourd’hui la quatrième génération de vignerons travaille dans le Domaine Fond Croze pour aider à l’élaboration de vin BIO rouge, blanc et rosé. 

Tout commença au lendemain de la première guerre mondiale, en 1918… En revenant de la grande bataille, Charles LONG décida de s’installer avec sa famille à Saint Roman de Malegarde, tout proche de Vaison la Romaine. Un petit village de 300 habitants dans le Nord du Vaucluse, situé au Nord de la colline du Ventabren, derrière les villages plus connus de Cairanne et Rasteau, Il acquit ses premières terres, et pour subvenir au besoin de sa famille, il décida de cultiver de la vigne, des melons, des pêchers et des abricotiers. Quelques années plus tard, son fils Raymond LONG, le suivit dans son rêve et l’aida à la ferme.

Petit à petit, tout les deux développèrent l’exploitation pour obtenir près de 25 ha de terres, avec une majorité de Vignes et d’Oliviers. Pour remercier ce petit village du Sud de la France d’avoir accueilli sa famille, Raymond s’impliqua dans la vie active du village. Il créera le Syndicat des Vignerons de Saint Roman de Malegarde, il participera à la vie active de ce village provençal, ce qui l’amena à devenir Maire de 1983 à 2010.

Situé à Tulette en Drôme Provençale, le domaine, d'une trentaine d'hectares en agriculture biologique (depuis 2010), se compose principalement de vignes, mais aussi de grenadiers, d'oliviers, de prairies et de bois, cultivés dans le respect de la biodiversité.

?

Trois générations de paysans s'y sont succédées et ont progressivement développé  le vignoble pour aboutir en 2017 à la construction de notre chai et l'élaboration de nos premiers vins, au domaine Gabriel Monier, nom de mon grand-père. 

"Notre petit vignoble, exploité en famille et en agriculture biologique, se trouve sur le plateau au-dessus de Vinsobres avec vues panoramiques sur le Mont Ventoux et les Pré-Alpes. Passionnés de vins depuis longtemps et réfugiés de la City à Londres, Anna et Wilson Thorburn ont créé le domaine en 2007. Avec nos 13 hectares de vignes, nous produisons des vins en cru Vinsobres et en Côtes du Rhône. Nos vins sont souvent recommandés et figurent dans des publications telles que le Guide Hachette, Bettane & Desseauve, Decanter, Le Figaro, Saveurs and Terre de Vins."

Amoureux dans la vie, amoureux de la vigne.
On a tendance a oublier que le vin se fait avant tout à la vigne, avec une enherbement naturel et maîtrisé, vendange à la main pour le respect du biotope avant tout.
Nous travaillons sans artifice en cave pour préserver le lien entre le millésime, le terroir.
Au domaine LBV, le partage est le mot d’ordre !
Les vins sentent bons le soleil d’Uzès dans le Gard (30) magnifique village au pied des Cévennes.

Julie Le Breton et Christophe Vial commencent l’aventure en 2016 en créant le Domaine LBV près d’Uzès. Ils mènent 6 ha de vignes en agriculture biologique.

Grenache noir/ Syrah/ Cabernet Sauvignon et une petite parcelle de grenache blanc.

Ils conduisent le vignoble avec un travail du sol mécanique. Une grande attention est particulièrement apportée à la taille et aux vendanges en vert. Ils obtiennent un rendement maximum entre 15 et 30 hl/ha.

Notre passion : la nature et le vin !

Élaborer des vins fins et typés, rester maître du travail de la culture des vignes à la commercialisation.
Depuis toujours notre mode de culture privilégie la relation passionnelle et respectueuse Homme-Vigne. Notre mode de culture est de type bio depuis 2009

Valvignères est un village à part, en Ardèche. A part, pas seulement pour le charme de son paysage, sa nature sauvage mais également parce que l’on doit déjà y venir « exprès », et lorsqu’on y vit, on s’y sent bien, protégé, à l’abri du monde citadin.
Valvignères est situé au cœur d’une vallée (vallis vinaria, au temps des romains : la vallée de la vigne), comme préservée des aléas du ciel et des déchaînements des hommes !! Même si le climat y est doux à vivre et la biodynamie plutôt simple à suivre, la terre n’a pas toujours été facile à travailler et ne l’est toujours pas : avec les argiles, il faut calculer le bon moment pour éviter de compacter les sols.